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Un de mes grand fantasme, me faire prendre par un beau black bien membré. Un peu comme celui de dessous.
Novembre 2024 | ||||||||||
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J’ai vécu des histoires quand j’étais à la fac.
Celle que je vais vous raconter s’est déroulée lors de ma 1ère année. En 1ère année, on arrive à la fac avec beaucoup d’à priori, que ceux-ci soient bons ou mauvais. Pour moi, ils étaient plutôt bons, du coup j’essayais pleins de choses.
Un jour, en quittant un amphi, un homme m’a abordé. Il me semblait l’avoir déjà vu. Donc, il devait être étudiant, professeur ou à l’administration. Il était noir, grand, musclé et dodu. Le genre de personne qui a une musculature assez développée mais qui a aussi une couche de graisse entre la peau et les muscles, si vous voyez ce que je veux dire. Il était en costume, le crâne rasé. Il m’a donc abordé et m’a demandé des renseignements sur les cours. Il était sympathique et engageant. Je lui ai fait comprendre que je devais me rendre à la station et il m’a accompagné. Chemin faisant, on a discuté et il m’a invité à prendre un café à la cafétéria. J’ai accepté.
On a continué à discuter. Il me posait des questions sur moi : 1ère année, pas du coin, loue une chambre… C’était détendu. Il me semblait sentir en lui une petite excitation, un désir. Il était charmant, donc je souriais beaucoup et il avait l’air d’apprécier. Il me dit que la 1ère année est faite pour choisir mais aussi vivre de nouvelles expériences.
- Tu sais, en 1ère année on jouit d’une certaine liberté. On peut expérimenter, contrairement au lycée, et plus que quand tu auras un boulot. Il faut en profiter.
- J’espère bien. D’ailleurs, j’ai l’intention de profiter un maximum de la fac.
- Les sorties, les soirées, les filles aussi ?
- Entre autres, je ne me limiterai pas à ça !
Je l’ai senti très réceptif à ce moment là. Il a dû saisir que j’étais ouvert, notamment aux hommes. Il m’a alors proposé de venir dans sa chambre de la résidence universitaire pour me montrer des photos de ses expériences, pour avoir une idée de ce que je pourrais faire. Je l’ai suivi avec plaisir.
Je m’attendais à une chambre un peu plus petite : 2 petits lits mis côte à côte, 2 bureaux, un canapé. Je comprends qu’il s’agit d’une chambre pour deux étudiants. On s’assoit sur le canapé et il me montre des photos de soirées, de vacances…
- Bien sûr, il y a d’autres moyens de s’amuser, si tu veux que je te montre...
- Genre comme ça ?
Je me suis mis à califourchon sur lui et l’ai embrassé à pleine bouche. Il a répondu positivement. Il était habillé, mais quand j’ai remué du bassin sur lui, j’ai eu l’impression de sentir une grosse bosse. J’ai retiré mon pull et mon tee-shirt, je lui ai enlevé sa veste et sa chemise. J’ai pu pétrir sa musculature et ça m’a excité de sentir cet homme. Je me suis laissé glisser sur le sol tout en embrassant sa poitrine et son ventre pour finir à genoux, entre ses jambes. J’avais très envie de le sucer et, sans attendre, j’ai défait son pantalon et j’ai saisi sa grosse bite déjà au garde à vous. Elle était large, le gland était un peu rosé avec des couilles énormes. Je me suis mis à l’ouvrage en gobant sa queue et en massant ses bourses. Son odeur était très forte et j’avais envie d’avaler toute sa queue. Lui aussi, vu qu’il poussait ma tête de sa main pour que je lui fasse une gorge profonde. Je ne voulais pas mais il a continué malgré mes gesticulations. Il m’a laissé respirer, je l’ai repris en bouche mais seulement le gland que je mordillais.
Ensuite, je me suis relevé puis déshabillé lascivement devant lui et je me suis remis à califourchon sur lui. J’ai pris sa bite dans ma main et je l’ai fait glisser entre mes fesses. Elle était assez longue, du coup je me frottais à ce pénis comme à une rambarde. Ma salive et son liquide séminal faisaient que ça glissait vraiment bien.
Puis, j’ai pointé son sexe sur mon anus et j’ai laissé la gravité faire le reste. Le début de la pénétration est toujours excitant car sentir le gland forcer l’anus est à la fois douloureux et libérateur de plaisir par la suite. Je descendais inexorablement le long de sa bite jusqu’à l’avoir complètement en moi. Au lieu d’attendre, j’aime remuer du bassin pour sentir cette intrusion dans mon cul. Puis une fois habitué, je commence la chevauchée fantastique. Et en l’occurrence, ça l’était.
Il était assis et moi sur lui, face à lui, les mains sur le haut du dossier. Il me claquait les fesses, m’insultait et me masturbait. Je sautais comme un bienheureux sur sa queue qui me procurait beaucoup de plaisir quand j’entendis un bruit de clé derrière la porte qui s’ouvrit. C’était une chambre universitaire, donc il n’y avait qu’une pièce et la femme qui est entrée a, tout de suite, eu la vision de moi, nu en train de me faire prendre. J’ai essayé de me dégager pour me cacher mais l’homme m’en a empêché. Je me débâtais mais il était plus fort et me maintenait sur sa queue. J’avais toujours sa bite fichée en moi mais je ne bougeais plus, mort de honte.
Il m’a expliqué que c’était sa fiancée. C’était une belle femme noire. Elle s’est assise sur le lit et me regardait. Comme je ne bougeais plus (j’avais vraiment trop honte), il a commencé à bouger, à me claquer les fesses ; il m’invectivait à coups de « bouge ton cul », « fais pas ta mijaurée, tu gémissais comme une putain avant qu’elle n’arrive ». La gêne ne passait pas mais se mêlait au plaisir de la pénétration et je me remis à gémir de plaisir. J’ai repris ma chevauchée et je ne m’occupais plus de ce que la femme pouvait penser de moi ; je m’abandonnais totalement au plaisir et j’allais jusqu’à la fixer du regard pour lui montrer que je prenais du plaisir à me faire sodomiser devant elle.
Enfin, il m’a soulevé, m’a posé à 4 pattes sur le lit et a repris sa pénétration. J’étais presque face à face avec la femme mais je ne la voyais presque pas car le plaisir me submergeait et je fermais les yeux pour en profiter. Il me pénétrait à une telle vitesse, avec une telle force que mes cris étaient inaudibles. Puis ils se sont parlés.
- Dis moi où veux-tu que je jouisse ! Sur sa gueule ou dans son cul ?
- Ejacule-lui à la figure et fous-le dehors, que tout le monde sache qui il est !
J’étais trop allumé pour réaliser ce qu’ils disaient. Il est sorti de moi, s’est placé devant mon visage et a éjaculé de grosses giclées de sperme sur mon visage. J’étais encore transis de plaisir quand il m’a pris par le bras et foutu dehors, dans le couloir. La femme m’a jeté mes vêtements à la figure et je les ai entendus se marrer. J’étais nu, en sueur, le visage couvert de foutre et l’anus bien dilaté. Pendant un instant, j’étais un peu perdu. Mais je me suis rapidement rhabillé et enfui.
Une bien belle histoire qui me donne de grandes envies.
Bisous
Cela doit être bon de se faire prendre par un tel engin
C'était un samedi en juillet, j'avais un anniversaire le soir et comme tout adolescent, pour pouvoir sortir, je devais demander l'autorisation à mes parents... A ma grande surprise, ces derniers furent tout de suite d'accord, moyennant une condition : comme ils étaient absents tout l'après-midi, je devais nettoyer le box de Tamis, notre cheval de 6 ans.
Mes parents partirent à 11h avec ma soeur, sans oublier de me rappeler que ma corvée devait être finie lorsqu'ils rentreront en fin d'après-midi. Vers 14h, je décidai de me lever de devant la TV et d'aller m'acquitter de ma corvée. J'ai enfilé un short et un tee-shirt et me rendis à l'écurie.
Je sortis Tamis de son box et l'amenai dans son parc dehors. Je commençai à ramasser la paille et la mis dans une brouette. Lorsque je fis le premier voyage pour vider la brouette, je sentis tout à coup que Tamis me donnait des coups avec son museau, signe qu'il réclamait des caresses. Ma seule idée était d'en finir au plus vite pour gagner mon droit à sortir le soir, je lui fis donc deux ou trois caresses sur la tête puis rentrai pour entreprendre un deuxième voyage de paille.
Quand je sortis pour vider la brouette pour la deuxième fois, Tamis était décidé à me faire comprendre que les caresses de tout à l'heure n'avaient pas suffi. Toujours pressé d'en finir, je le grondai en lui disant que j'avais autre chose à faire. Mais l'animal ne l'entendait pas de cette oreille. Je lui fis à nouveau quelques caresses sur la tête puis sur le dos. J'allai arrêter quand soudain mon attention fût dirigée sur son entrejambe, plus précisément sur son zob qui sortait de son fourreau.
Je n'avais jamais vu un cheval bander et jamais je n'aurai pensé que le sexe pouvait être aussi gros. Je remarquai que c'était mes caresses qui provoquaient l'érection de Tamis et décidai de continuer car ce zob qui grossissait encore et encore m'intriguait. Je commençai à caresser l'animal sur le côté et en voyant le sexe devenir toujours plus gros, je me rendis compte de quelque chose qui me terrifia. Si Tamis avait une érection...... MOI AUSSI !
C'est alors que je me rendis compte que de voir mon cheval bander ne m'intriguait pas mais m'excitait....
A cet âge, je n'avais jamais entendu parler de Zoophilie et ignorais même que ça existait... Raison pour laquelle j'avais très peur des idées qui me passaient par la tête à ce moment. Malgré ça, je n'avais jamais été aussi excité et ne pouvais m'empêcher de continuer. Je glissai une main dans mon short en me mettant à genou et commençai à caresser Tamis sous le ventre. Le sexe de Tamis était maintenant complètement hors de son fourreau et ne "pendait" plus entre ses jambes mais était dressé presque parallèle à son ventre, sa taille m'impressionnait toujours autant.
A ce moment, je n'avais qu'une idée en tête, toucher ce zob qui m'attirait de plus en plus. Ayant grandi à la campagne, l'odeur des chevaux ne m'avait jamais dérangé, mais là, cette odeur m'excitait. Je n'osais pas toucher le sexe de Tamis, j'avais peur qu'il prenne peur et s'en aille (après tout, un cheval ignorait tout de ce qu'était une masturbation, voire une fellation). Je ne savais pas combien de temps cela faisait que j'avais commencé ce jeu érotique avec l'animal, quand je pris le risque de commencer à caresser le pénis de Tamis. Après deux ou trois caresses, j'entendis le cheval pousser un soupir, j'eus très peur qu'il s'en aille et me laisse seul dans cet état, mais l'équidé ne broncha pas, visiblement ce que je lui faisais était loin de lui déplaire.
Je saisis alors son zob et commençai à faire des mouvements de va-et-vient, puis après une courte hésitation, commençai à lui lécher son énorme gland. Le goût était loin de me dégoûter et mon état d'excitation à ce moment là était indescriptible. Lorsque je mis complètement son sexe dans ma bouche, je ne pensais plus à rien, sauf au plaisir que je prenais et que je donnais à mon cheval.
Tout en le suçant, je continuai à le masturber... Ceci dura pendant près de deux minutes avant que j'entende Tamis soupirer et que je vis ses énormes testicules se contracter, je compris alors qu'il éjaculait. La confirmation de cette supposition arriva dans ma bouche. Moins d'une seconde plus tard, le sperme de Tamis envahit ma bouche, son goût amer ne me déplut pas et je commençai à avaler. Mais la puissance et la quantité impressionnante de semence fit que tout avaler était impossible pour moi, je sortis le pénis de ma bouche et le reste du sperme me coula sur mon tee-shirt.
Après ça, le sexe de Tamis se remit à pendre et commença à rétrécir, tout en me masturbant dans mon short, je léchai une dernière fois le gland de l'animal puis éjaculai à mon tour.
Une fois fini, je me relevai. Tamis me regarda et je sais que ça peut paraître stupide, mais j'avais l'impression qu'il me disait "c'était génial". Je finis de nettoyer son box et le rentrai. Pour finir, malgré la permission de mes parents, je ne sortis pas le soir, j'étais obsédé par ce que je venais de faire. Mes sentiments étaient mélangés entre honte et peur. Honte parce que j'avais eu ma première expérience sexuelle avec un cheval et surtout peur, car je réalisai que ça m'avait beaucoup plu et que ma seule idée, était de recommencer....
Depuis ce jour, j'ai eu des expériences avec des humains mais j'ai une attirance très forte pour les chevaux.